Cheikh Yerim dit avoir appris avec “stupéfaction” l’agression de la journaliste Maimouna Ndour Faye. Le journaliste décrit sa consœur comme “une femme de qualité, une amie proche”. Une amie proche à qui, Cheikh Yérim Seck dit n’avoir “cessé de mettre en garde contre les tueurs qui ensanglantent le Sénégal toutes ces dernières années”.
L’ancien de Jeune Afrique atteste que “les terroristes qui l’ont saignée, dans le cadre d’un projet diabolique de musellement des résistants résiduels de la liberté d’expression, ne tarderont pas à être retrouvés”. Cheikh Yerim promet de contribuer “de toutes (ses) forces à l’enquête.
La journaliste qui a été agresse tard dans la nuit est tirée d’affaire d’après ses proches. Toutefois, elle demeure en observation.